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Loisirs en France

29 février 2024

la magie des vues aériennes

Dans le domaine de l'aviation, il existe un mode de transport qui offre une perspective unique sur le monde d'en bas - une perspective réservée uniquement aux personnes qui osent s'envoler à bord d'un hélicoptère. Grâce à sa capacité à planer, à manœuvrer et à traverser les paysages avec une agilité inégalée, l'hélicoptère ouvre un champ de possibilités pour l'exploration et l'aventure. Qu'il s'agisse de paysages urbains animés ou de miracles naturels paisibles, le survol des sites et de la nature à bord d'un hélicoptère est une expérience qui suscite des sentiments d'émerveillement, d'excitation et de joie pure.

Lorsque l'hélicoptère décolle du sol, l'air se remplit d'un sentiment d'anticipation. Les pales du rotor se détachent de l'atmosphère dans un bruit sourd et rythmé, nous propulsant vers l'immensité du ciel. En bas, le monde se déploie comme une courtepointe en patchwork, chaque carré étant un tableau unique d'activités humaines et de beautés naturelles qui attendent d'être identifiées.

Le survol de monuments emblématiques ou de merveilles architecturales offre une nouvelle perspective sur des sites familiers. De la Statue de la Liberté se dressant avec fierté dans le port de Ny Harbor aux pics majestueux du Fantastic Canyon, l'observation de ces points de repère depuis le ciel est une expérience transformatrice. L'échelle et la grandeur de ces structures deviennent évidentes depuis que nous sommes en vol stationnaire, offrant une vue d'oiseau que peu de gens atteignent jamais.

Mais il n'y a pas que les attractions créées par l'homme qui nous intriguent depuis les airs. Le caractère, lui aussi, prend une nouvelle dimension lorsqu'il est observé depuis le point de vue élevé d'un hélicoptère. En survolant des forêts luxuriantes, des estuaires et des rivières sinueuses, ainsi que des côtes accidentées, nous assistons à une symphonie de couleurs et de compositions qui s'étendent à perte de vue. Les légumes verdoyants des arbres, le bleu saphir de l'eau, les bruns terreux des sommets montagneux, tous ces éléments s'unissent pour former une tapisserie d'une beauté naturelle à couper le souffle.

L'un des aspects les plus excitants du vol en hélicoptère est la sensation de liberté qu'il procure. Contrairement aux aéronefs à voilure fixe, les hélicoptères ont la capacité de rester en vol stationnaire, ce qui nous permet de nous attarder sur les points d'intérêt et d'admirer le paysage à notre propre rythme. Cette liberté d'explorer sans contrainte est ce qui rend le voyage aérien en hélicoptère vraiment spécifique, offrant un niveau de flexibilité et de spontanéité qui n'est égalé par aucun autre moyen de transport.

Mais le plus grand plaisir de survoler les attractions et la nature en hélicoptère est sans doute la sensation d'émerveillement qu'il inspire. En regardant le monde entier en contrebas, notre compagnie se rend compte de l'immensité et de la diversité de notre planète, hélicoptère au Mont St Michel ce qui nous rappelle à quel point nous sommes minuscules par rapport à l'ensemble de la planète. C'est une expérience qui nous rend humbles et qui nous remplit d'un sentiment d'étonnement et de respect pour l'élégance et la complexité du monde naturel.

Voler en hélicoptère est également une expérience sensorielle sans pareille. Le souffle du vent qui s'oppose à nos rencontres, le grondement du moteur sous nos pieds, les vues panoramiques qui s'étendent dans toutes les directions - c'est un festin pour nos sens qui nous laisse une sensation de vie et de vitalité. Chaque minute passée dans les airs nous rappelle le plaisir absolu du vol, les possibilités illimitées qui s'offrent à nous lorsque nous osons atteindre le ciel.

Bien sûr, s'élever dans un hélicoptère s'accompagne aussi de sa part d'excitation et de moments d'adrénaline. Qu'il s'agisse d'un vol de consommation sur le sommet d'une colline ou d'un vol en piqué au-dessus du lit d'une rivière, l'exaltation est au rendez-vous lorsqu'on s'envole dans l'air à bord d'un hélicoptère. Ces moments d'exaltation rappellent les dangers inhérents au vol et renforcent le sentiment d'aventure et de découverte qui rend le vol en hélicoptère si gratifiant.

Le survol des paysages et de la nature à bord d'un hélicoptère est une expérience sans précédent. Il vous offre un point de vue unique sur le monde d'en bas, vous permettant de découvrir des lieux familiers sous un autre jour et de voir des joyaux cachés qui ne sont accessibles que depuis les airs. Qu'il s'agisse du frisson procuré par le survol de sites emblématiques ou de l'impressionnante beauté du caractère qui se déploie sous nos yeux, chaque instant passé dans les airs est en fait un rappel de la joie du vol ainsi que de l'infinité des choses étonnantes du monde dans lequel nous vivons.

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7 janvier 2024

La décolonisation

La décolonisation et l'émergence de nouvelles nations au milieu du 20e siècle constituent l'un des changements politiques, sociaux et économiques les plus significatifs de l'histoire moderne. Après des siècles de domination impériale, un grand nombre de pays en Asie, en Afrique, au Moyen-Orient et dans les Caraïbes ont acquis leur indépendance, redéfinissant ainsi le paysage politique mondial.

Le processus de décolonisation a été stimulé par une combinaison de facteurs. Les deux guerres mondiales ont affaibli les puissances coloniales européennes, tant économiquement que politiquement, sapant leur capacité à maintenir et à gérer leurs empires. En même temps, les idéologies de l'auto-détermination et du nationalisme ont gagné en force, en particulier après la création de l'ONU et son soutien au droit des peuples à l'autodétermination. De plus, la Guerre froide a créé un contexte international dans lequel les puissances mondiales, principalement les États-Unis et l'Union soviétique, ont souvent soutenu les mouvements de décolonisation pour gagner l'influence dans les régions stratégiquement importantes.

Le processus de décolonisation a varié considérablement d'une région à l'autre et d'un pays à l'autre. Certains pays ont obtenu leur indépendance par des moyens relativement pacifiques et négociés, tandis que d'autres ont été marqués par des conflits violents et des luttes prolongées. Par exemple, l'Inde a acquis son indépendance du Royaume-Uni en 1947 après une longue campagne de désobéissance civile et de négociations politiques. En revanche, la guerre d'indépendance algérienne contre la France (1954-1962) a été particulièrement sanglante et conflictuelle.

Les années 1950 et 1960 ont été marquées par une vague sans précédent de décolonisation, avec la fin des empires britannique, français, belge, néerlandais et portugais en Asie, en Afrique et au Moyen-Orient. Des pays tels que le Ghana, l'Algérie, le Congo, l'Indonésie et de nombreux autres sont devenus des états souverains, souvent après des décennies ou des siècles de domination étrangère.

Cependant, l'indépendance n'a pas immédiatement résolu tous les problèmes. Beaucoup de nouvelles nations ont été confrontées à des défis majeurs, notamment la construction d'États-nations viables, le développement économique, la gestion de la diversité ethnique et religieuse, et les conflits frontaliers hérités des découpages coloniaux. De plus, l'intervention continue des anciennes puissances coloniales et des nouvelles superpuissances dans les affaires des États nouvellement indépendants a souvent compliqué leur chemin vers la stabilité.

La décolonisation a également eu un impact significatif sur les anciennes puissances coloniales, entraînant souvent un déclin de leur influence mondiale et un processus douloureux de réexamen et de modification de leur identité nationale et de leur rôle dans le monde.

Au niveau mondial, la décolonisation a considérablement augmenté le nombre de membres des Nations Unies et a changé la dynamique géopolitique, conduisant à une ère de diversification politique et culturelle. Elle a également contribué à l'émergence du Mouvement des non-alignés, une coalition de pays qui se sont positionnés comme indépendants ou neutres dans la Guerre froide.

En somme, la décolonisation et l'émergence de nouvelles nations au milieu du 20e siècle ont transformé radicalement le monde, mettant fin à des siècles de domination impériale et donnant naissance à un ordre mondial plus diversifié et multipolaire. Ce processus a libéré des millions de personnes de la domination étrangère, mais a également présenté de nouveaux défis et complexités, dont beaucoup continuent de résonner dans les affaires internationales contemporaines.

26 octobre 2023

le rôle du terroir dans la saveur du whisky

L'Écosse, avec ses paysages étonnants et son riche patrimoine ethnique, est réputée dans le monde entier pour ses whiskies exceptionnels. Le whisky écossais, souvent appelé Scotch, est une quintessence de l'Écosse, whisky d'Ecosse célébrée pour ses saveurs distinctives et ses styles variés. Dans cette exploration des whiskies écossais, nous nous penchons sur les caractéristiques spécifiques qui font du whisky écossais un état d'esprit apprécié, dont l'origine est aussi sérieuse que les vallées des Highlands.

Les whiskies écossais témoignent de la diversité du pays, tant sur le plan géographique que sur celui des arômes. L'industrie du whisky peut être divisée en plusieurs régions, chacune ayant ses propres caractéristiques :

Les Highlands Whiskies : Les Highlands sont certainement la plus grande région productrice de whisky en Écosse et sont connus pour leur gamme variée d'arômes. Les whiskies des Highlands présentent souvent un équilibre entre des notes fruitées, fleuries et fumées. Parmi les distilleries renommées de cette région figurent Glenmorangie et Dalmore.

Les whiskies du Speyside : Situé dans la région des Highlands, le Speyside est réputé pour ses whiskies élégants et doux. Ces derniers ont souvent des notes fruitées et de noix, ce qui fait du Speyside le cœur de la production de whisky de malt en Écosse. Les distilleries emblématiques du Speyside sont Glenfiddich et Macallan.

Whiskies d'Islay : Islay, une île située sur la côte ouest de l'Écosse, est synonyme de whiskies tourbés et fumés. L'atmosphère saumâtre de la mer et les tourbières uniques contribuent à la saveur particulière des whiskies d'Islay. Laphroaig et Lagavulin sont les principales distilleries d'Islay.

Whiskies des basses terres : Les whiskies des Lowlands sont légers et floraux. Ils sont souvent considérés comme un guide doux du whisky écossais pour les débutants. Auchentoshan est une importante distillerie des Lowlands.

Whiskies de Campbeltown : Ancienne région productrice de whisky, Campbeltown est connue pour ses whiskies puissants et complexes. Ceux-ci se caractérisent souvent par des effets maritimes et des saveurs riches. Springbank est une distillerie populaire de Campbeltown.

Whiskies des îles : Les îles, un groupe d'îles productrices de whisky au large de la côte écossaise, offrent un éventail de saveurs influencées par leur emplacement particulier. Le Talisker de l'île de Skye en est l'une des illustrations les plus connues.

Les différentes régions productrices de whisky mentionnées ci-dessus jouent un rôle dans un large éventail d'expériences de dégustation. Ci-dessous, nous explorons les goûts spécifiques communément associés au whisky écossais :

Notes fruitées : De nombreux whiskies écossais, en particulier ceux du Speyside, présentent des notes fruitées telles que la pomme, la poire et les agrumes. Ces saveurs sont souvent présentes dans les malts individuels et se mélangent harmonieusement avec d'autres composants. Senteurs florales : Les whiskies écossais, en particulier ceux des Lowlands, sont connus pour leurs arômes floraux. Des notes de bruyère, de lavande et de fleurs sauvages peuvent être détectées, ajoutant de la beauté et de la difficulté à la zone nasale et au palais. Tourbe et fumée : Les whiskies d'Islay sont réputés pour leur caractère tourbé et fumé. La tourbe est utilisée pour sécher l'orge maltée au cours de la méthode de production, ce qui confère au whisky des notes terreuses, médicinales et fumées. Le niveau de tourbe varie d'une distillerie à l'autre, certaines offrant des profils intensément tourbés, tandis que d'autres présentent un caractère fumé plus doux.

Influence du sherry : Certains whiskies écossais sont vieillis dans des fûts de sherry, ce qui leur confère des arômes riches et sombres de fruits, ainsi que des notes de raisin sec, de figue et de noix. Cette influence du sherry se retrouve souvent dans les whiskies du Speyside et des Highlands. Arôme de vanille et chêne : Les whiskies vieillis en fûts de chêne développent des notes de vanille et de chêne. Ces arômes contribuent à la douceur et à la complexité globales du whisky, en y incorporant des couches de profondeur et de douceur. Brise de mer et salinité : Les whiskies des régions côtières, y compris Islay et les îles, présentent généralement des notes de brise marine et de salinité. Ces remarques maritimes évoquent l'atmosphère saumâtre et le terroir du bord de mer, conférant au whisky un caractère distinct.

Vivacité et chaleur : de nombreux whiskies écossais contiennent des épices telles que la cannelle, la muscade et le poivre noir. Ces épices apportent de la chaleur et de la complexité, ce qui les rend idéaux pour les soirées écossaises fraîches. Miel et caramel : Certains whiskies, en particulier ceux qui ont vieilli dans des fûts de bourbon, offrent des notes de miel et de sucres caramélisés. Ces notes sucrées équilibrent le profil général du whisky.

L'une des joies de la dégustation du whisky écossais réside dans sa diversité. Les amateurs de whisky peuvent se lancer dans une quête sensorielle à travers les différentes régions et distilleries d'Écosse, en savourant les nuances de goût et d'arôme. La dégustation de whisky n'est pas seulement une expérience de boisson ; c'est une recherche sur l'histoire, l'artisanat et le terroir.

Le terroir, un concept généralement associé au vin, est de plus en plus présent dans le monde du whisky. Il fait référence aux facteurs environnementaux qui influencent la saveur d'un produit. Dans le cas du whisky écossais, le terroir englobe les conditions météorologiques de la région, l'approvisionnement en eau et l'utilisation d'orge cultivé localement. Ces facteurs interagissent pour créer des saveurs distinctes, propres à chaque région productrice de whisky.

Par exemple, le climat maritime et les nombreuses tourbières de l'île d'Islay jouent un rôle dans les whiskies tourbés et salés qui la caractérisent. Les vastes ressources en eau douce et le sol fertile du Speyside lui confèrent un caractère plus fruité et plus doux. Les paysages variés des Highlands offrent un large éventail de profils gustatifs, allant du floral au fumé.

Les whiskies écossais ne sont pas seulement une boisson ; ils sont une célébration de la tradition, du terroir et de l'artisanat. Les préférences spécifiques du whisky écossais sont le reflet des paysages variés du pays et de l'art de ses distillateurs. Que vous préfériez l'étreinte tourbée d'un whisky d'Islay, l'élégante saveur sucrée du Speyside ou la solide complexité d'un malt des Highlands, les whiskies écossais vous offrent un voyage sensoriel à travers un pays riche en histoire et en saveurs. Alors, levez une fenêtre et portez un toast à la magie du whisky écossais - une eau qui incarne l'âme de l'Écosse.

14 septembre 2023

Henri Benjamin Constant : Liberté, individualisme et tolérance

La pensée d'Henri Benjamin Constant, philosophe et homme politique français du XIXe siècle, a profondément influencé les idées politiques et philosophiques de son époque. Cet essai examinera les conséquences de la pensée de Constant, en mettant l'accent sur des concepts clés tels que la liberté, l'individualisme et la tolérance. Nous explorerons comment ces idées ont façonné notre compréhension moderne de la démocratie, de la société et des droits individuels.

Développement :

1. La primauté de la liberté :
L'une des contributions les plus importantes d'Henri Benjamin Constant réside dans sa défense de la liberté individuelle. Il a souligné l'importance de protéger les droits fondamentaux de l'individu, tels que la liberté d'expression, la liberté de conscience et la liberté de choix. Cette conception de la liberté a eu des conséquences durables sur les systèmes politiques et juridiques, mettant l'accent sur la nécessité de limiter l'intervention de l'État dans la sphère privée.

2. L'individualisme et la responsabilité personnelle :
Constant a également promu l'idée de l'individualisme, mettant en avant la responsabilité personnelle et l'autonomie de l'individu. Selon lui, chaque individu est le mieux placé pour prendre des décisions concernant sa propre vie. Cette perspective a influencé la façon dont nous concevons les droits individuels, la propriété privée et le rôle de l'État dans la protection de ces droits.

3. La tolérance et le pluralisme :
Un autre aspect important de la pensée de Constant est sa défense de la tolérance et du pluralisme. Il a soutenu la nécessité de respecter les différentes opinions et les diverses croyances au sein de la société. Cette idée a des implications profondes pour la démocratie moderne, mettant en valeur l'importance de la libre expression, du débat public et de la coexistence pacifique des différentes communautés et idées.

4. L'influence contemporaine de Constant :
La pensée d'Henri Benjamin Constant a laissé une empreinte durable sur la politique et la philosophie contemporaines. Ses idées sur la liberté individuelle, l'individualisme et la tolérance ont influencé les penseurs et les mouvements politiques modernes, tels que le libéralisme classique, le féminisme et les droits de l'homme. Les concepts qu'il a développés continuent d'être débattus et mis en pratique dans de nombreux domaines de notre vie quotidienne.

Conclusion :

La pensée d'Henri Benjamin Constant a eu des conséquences significatives sur notre compréhension de la liberté, de l'individualisme et de la tolérance. Ses idées ont contribué à façonner la démocratie moderne, en mettant l'accent sur la protection des droits individuels et le respect des opinions divergentes. Alors que nous continuons d'explorer les implications de sa pensée, il est essentiel de réfléchir à la manière dont nous pouvons appliquer ces principes pour promouvoir une société juste, libre et pluraliste.

8 juin 2023

La plongée pour toute la famille

Il n'y a pas de meilleure méthode pour explorer l'océan que la plongée. Plonger vous permet de vous rapprocher de la planète sous-marine et de rencontrer des sensations nouvelles et excitantes.

Que vous soyez un débutant ou un plongeur expérimenté, il existe toujours quelque chose de totalement nouveau à voir et à expérimenter lorsque vous plongez. Qu'attendez-vous exactement ? Rendez-vous sur le site de plongée le plus proche et commencez à découvrir les miracles de l'océan !

Pourquoi la plongée est une excellente activité pour toute la famille. La plongée est une excellente activité pour toute la famille pour plusieurs raisons. Pour commencer, la plongée est vraiment un sport assez sûr qui ne nécessite pas beaucoup d'équipement coûteux. En outre, le plongeon peut être pratiqué dans de nombreux endroits, de la plage à la piscine intérieure. En outre, le plongeon est un excellent moyen de s'entraîner et de profiter du plein air. Enfin, le plongeon est définitivement un exercice qui peut être apprécié par des personnes de tout âge et de tout problème physique. Que vous cherchiez un moyen de créer des liens avec votre famille ou que vous souhaitiez simplement prendre l'air, le plongeon est une excellente option. Alors, qu'attendez-vous actuellement ? Sortez et commencez à explorer le monde sous-marin dès aujourd'hui !

L'exploration du monde sous-marin est une expérience véritablement mystique. Que vous fassiez de l'apnée ou de la plongée, vous pouvez voir une toute nouvelle planète remplie de vie. Des poissons colorés aux dauphins pleins de vie, il y a beaucoup à découvrir et à voir. Et en plus de cela, il est relativement facile de s'y mettre. Avec juste un peu de pratique, vous pouvez être sur la bonne voie pour explorer les merveilles de la planète sous-marine.

Les épaves sont une méthode étonnante pour explorer la planète sous-marine. Vous trouverez des épaves de toutes tailles, des petites embarcations aux énormes vaisseaux. Et chaque épave a sa propre histoire à raconter. Plonger sur une épave peut être une rencontre incroyablement excitante et éducative. En outre, plonger sur des épaves peut également être un excellent moyen de faire de l'exercice et de profiter de l'extérieur.

Pour de nombreux plongeurs, plonger sur des épaves est l'une des choses les plus excitantes et fascinantes à faire. Non seulement les épaves sont souvent remplies de vie marine, mais en plus elles donnent un aperçu du passé. Chaque fois qu'un navire cuisine coule, il devient un récif synthétique, offrant un foyer à une variété de poissons ainsi qu'à d'autres micro-organismes. En outre, les épaves peuvent être d'excellents endroits pour découvrir des variétés peu communes que vous ne connaîtriez pas habituellement. Par conséquent, plonger autour des épaves peut être un excellent moyen d'observer une grande variété de vie marine.

Les espèces de fruits de mer vulnérables sont celles qui risquent d'être éliminées. Cela peut être dû à diverses raisons, comme la surpêche, la pollution atmosphérique et la réduction de l'environnement.

Il existe de nombreuses espèces de fruits de mer menacées dans le monde entier, et le plongeon est l'une des meilleures façons de les voir. Le fait de plonger vous permet de vous réveiller à proximité de ces fruits de mer, et vous pouvez contribuer à leur efficacité.

Chaque fois que vous plongez avec une variété de poissons vulnérables, plongée Banyuls Pyrénées Orientales vous aidez à sensibiliser les gens à leur sort et à soutenir leur efficacité. En outre, plonger avec des fruits de mer vulnérables peut également être un moyen formidable de faire de l'exercice et de profiter du plein air.

Plonger est l'une des meilleures façons de voir les poissons de près. Lorsque vous plongez, vous pouvez vous retrouver les yeux dans les yeux avec une variété de poissons différents, du petit alevin aux requins massifs. En outre, le plongeon vous permet d'obtenir une place au premier rang de toute l'action qui se déroule sous l'eau. L'un des meilleurs aspects de la plongée est qu'il est relativement simple de commencer. Avec juste un peu de pratique, vous pourriez être sur la bonne voie pour découvrir le monde sous-marin.

 

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11 avril 2023

Pour une baisse des impôts

Depuis plusieurs semaines, les experts invités de CNBC et Bloomberg News parlent de la prochaine loi de réduction d'impôt (pour les entreprises) que les républicains semblent enfin avoir à leur portée. Le projet de loi, tel qu'il est actuellement proposé, supprimera le mandat d'assurance pour les soins de santé et pourrait laisser beaucoup de personnes salariées de la classe moyenne supérieure, encore plus défavorisées, en particulier dans les États à fiscalité élevée. Les gagnants sûrs seront les actionnaires des sociétés multinationales et les entreprises de passage, en particulier les partenariats immobiliers. Les pom-pom girls du côté de l'offre pour le plan, à la fois au Congrès et à la Maison Blanche (Mnuchin, Cohen, Mulvaney, et al) soutiennent que la croissance économique sera beaucoup plus rapide, qu'elle paiera pour les coupes et que les salaires et traitements augmenteront , grâce à une explosion de nouveaux investissements.
En revanche, pratiquement tous les grands économistes affirment que les coupes ne seront pas rentables, que le déficit et la dette nationale augmenteront et que la croissance ne s'accélérera pas. Ce sur quoi les deux parties s'accordent à dire qu'il y a environ 2,5 billions de dollars de bénéfices dans les banques étrangères, principalement dans les paradis fiscaux, juste pour éviter de payer l'impôt sur les sociétés américain. Apple, à lui seul, aurait 260 milliards de dollars à ramener à la maison, si seulement l'oncle Sam pouvait bien vouloir couper sa part. Le plan examiné par le 112e (actuel) Congrès réduirait le taux d'imposition des sociétés sur les bénéfices des sociétés étrangères rapatriés sous forme de dividendes.
Un congé fiscal »pour ramener les bénéfices détenus à l'étranger a été jugé par la deuxième administration Bush en 2005 dans le cadre de l'American Jobs Creation Act (PL 108-357). Le taux d'imposition des fonds rapatriés en vertu de la loi a été fixé à 5,25% (une remise unique de 85% sur le taux d'imposition des sociétés américain le plus élevé de 35%. Les promoteurs d'entreprises et leurs lobbyistes ont déclaré que 500 000 nouveaux emplois seraient créés en 2 ans). Voici ce qui s'est réellement passé en 2005 1 Au cours de l'année suivante, 299 milliards de dollars ont été rapatriés par 843 entreprises (sur 9700 entreprises éligibles). De ce montant, 99 milliards ont été rapatriés par des sociétés pharmaceutiques (32% du total), 58 dollars milliards ont été rapatriés par des entreprises d'ordinateurs et d'équipements électroniques (18%), contre environ 60 milliards de dollars par an (en moyenne) de rapatriements totaux de revenus étrangers par toutes les entreprises, au cours des 5 dernières années.
Combien de nouveaux emplois ont été créés? Les 15 premières entreprises rapatriant ont réduit leur emploi total aux États-Unis de 20 931 emplois (environ 35%) entre 2004 et 2007. (Quelques entreprises ont signalé une augmentation de l'emploi, mais uniquement en raison d'acquisitions. La R&D des 15 premières a légèrement diminué même si six des huit étaient des sociétés pharmaceutiques (et ces sociétés dépendent notoirement de la R&D). Deux études universitaires, basées sur des données de l'ensemble du spectre, ont conclu que le rapatriement en 2005 n'avait pas d'effet positif sur les dépenses de R&D Blouin, 2009 # 8404; Dharmapala, 2011 # 8403
L'utilisation de fonds rapatriés pour le rachat d'actions a été explicitement interdite par la loi sur la création d'emplois de 2004. Mais, étrangement, les rachats d'actions par 19 grandes entreprises de rapatriement interrogées (y compris les 15 principales) sont passés de 2,2 milliards de dollars (en moyenne) en 2003 à 2,5 milliards de dollars (en moyenne ) en 2005 et 5,3 milliards de dollars (en moyenne) en 2007. Les rachats d'actions et la rémunération des dirigeants ont été la seule catégorie de dépenses qui a augmenté en raison des rapatriements. Une étude a révélé que, pour chaque dollar de fonds rapatriés, entre 0,60 et 0,92 $ ont été rachetés Dharmapala, 2011 # 8403. Il semble que les entreprises pouvaient - et l'ont fait - légalement utiliser les fonds rapatriés dans les zones autorisées »tout en éloignant les fonds des entreprises précédemment budgétés de ces zones (c'est-à-dire la R&D) pour les racheter Levin, 2011 # 8402 p.23, note 61. Il faut cependant reconnaître que les rachats par entreprise ont été assez variables d'une année à l'autre entre 2002 et 2007; voir Levin, 2011 # 8402, annexe, tableau 2.
La rémunération des cadres était l'autre catégorie de dépenses qui a augmenté de façon spectaculaire dans la plupart des sociétés interrogées. Un seul des 19 répondants (Motorola) a réduit la rémunération des dirigeants entre 2004 et 2007, et ce pour d'autres raisons. La rémunération collective des dirigeants de 19 entreprises interrogées a augmenté de 35% dans l'année qui a suivi le rapatriement (de 2005 à 2006), alors que la rémunération des salariés n'a augmenté que de 5%. (La rémunération des dirigeants pour le groupe des 19 a légèrement diminué de 2006 à 2007, principalement en raison d'une énorme baisse dans une entreprise, Hewlett-Packard.
La croissance du PIB s'est-elle accélérée après le congé fiscal de Bush de 2005 et d'autres réductions d'impôts de Bush? Il n'a pas. En fait, le taux de croissance américain a fortement chuté. Le tableau ci-dessous (de la Banque de réserve fédérale de St. Louis) raconte l'histoire. La croissance du PIB a culminé à 4,8% par an. en 1967. Ce pic (provoqué par les dépenses d'emprunt d'argent pendant la guerre du Viet Nam) a déclenché une inflation persistante. La croissance économique réelle est restée proche de 4,5% de 1965 à 1973, après le premier choc pétrolier », puis a commencé à chuter en partie en raison de la hausse des prix du pétrole. La croissance économique oscille toujours autour de 3,1% par an. dans le reste des années 1970. Cette période a été interrompue par la flambée des taux d'intérêt de Paul Volker qui tue l'inflation au printemps de 1983. Mais le taux de croissance de la productivité est tombé régulièrement de 1965 à 1967 à un creux en 1982-3. Cette flambée des taux d'intérêt en 1982 a provoqué une récession profonde mais courte aux États-Unis (et une crise économique en Amérique latine). Il y a eu une reprise rapide en raison de la baisse des taux d'intérêt et des prix du pétrole très bas en 1985-1986 (mais attribués par tous les républicains - mais très peu d'économistes - aux réductions d'impôts de Reagan).
La productivité a commencé à se redresser (mais de manière inégale) dans les années 80 pour atteindre un nouveau sommet en 2005. La plupart des économistes attribuent cette tendance à la hausse de la productivité à la pénétration des ordinateurs et de la technologie numérique. Mais, ce qui est peut-être surprenant, la révolution Internet qui a commencé dans les années 1990 n'a pas entraîné de gains de productivité mesurables. N.B. La croissance oscille toujours autour des 3% p.a. entre 1986 et 2005. Il a même atteint un sommet de 3,5% en 1992 et de nouveau en 2001 (juste après le krach boursier). Après le crash, il y a eu une très légère récession. En 2003, la Fed, dirigée par le président Greenspan, a répondu par une série de baisses de taux d'intérêt, destinées à stimuler la croissance. Cette légère récession a incité George Bush et le Congrès républicain à essayer, une fois de plus, la théorie de l'offre »Stockman, 2013 # 8291. L'American Jobs Creation Act de 2004 était censé ramener beaucoup de capitaux dans les banques à l'étranger pour échapper à l'impôt sur le revenu des sociétés des États-Unis et induire une nouvelle poussée de croissance Reaganesque. Mais, au lieu de cela, après 2005, la croissance économique a fortement chuté, passant de 3% par an. en 2005 à 2006 et 2007 à environ 1,5% par an. en 2008-2009. Il n'y a pas eu d'accélération de la croissance jusqu'aux premiers pousses vertes »en 2016, lorsque le chômage est finalement tombé en dessous de 5%
J'en arrive maintenant au cœur du problème. Les bénéfices des entreprises sont actuellement à un niveau record, en termes absolus. La plupart des observateurs du marché s'attendent à voir des profits des entreprises encore plus élevés l'année prochaine, même sans la réduction d'impôt proposée. Bien sûr, l'économie a également progressé, mais en tant que fraction du PIB, les bénéfices des entreprises après impôts (en rouge) sont passés de 4,5% du PIB en 2001 à plus de 9% du PIB en 2017. Parallèlement, les salaires et traitements (en bleu) ont a diminué en tant que fraction du PIB, passant d'environ 47% du PIB en 1994 à 43% du PIB en 2017. La relation n'est pas parfaitement symétrique sur de longues périodes, mais depuis 2001, la plupart des dollars ajoutés aux bénéfices des entreprises sont presque littéralement sortis de les poches des employés. L'idée que l'augmentation future des bénéfices des entreprises s'ajoutera simultanément aux chèques de paie des employés est contraire à la fois à l'expérience et à la logique.
Il y a bien sûr plus à dire sur la croissance économique. La croissance économique est tirée par l'investissement, après un certain retard. L'argent pour l'investissement provient soit des bénéfices actuels des entreprises, soit des économies réalisées sur les salaires et traitements des travailleurs (y compris les cadres les mieux payés), soit des emprunts d'entreprises (ou du gouvernement) sur les bénéfices futurs. Il n'y a pas d'autre possibilité. Les données historiques nous indiquent que l'emprunt par rapport aux bénéfices futurs attendus est la principale source (et en augmentation) de capital d'investissement.
Mais attention: l'héritage des emprunts passés pour investir dans la croissance économique passée demeure sous la forme d'une dette existante. La dette existante des entreprises et des gouvernements - composée principalement d'obligations à long terme - est constamment remboursée à des taux d'intérêt fixés lors de la vente de l'obligation. La dette des consommateurs, quant à elle, se compose principalement (70%) d'hypothèques immobilières, ainsi que de certaines dettes d'études et de cartes de crédit à court terme. Certains emprunts antérieurs du gouvernement américain ont été utilisés pour financer des déficits budgétaires fédéraux, étatiques et municipaux. L'investissement dans de nouvelles capacités de production (briques et mortier ») est financé par les bénéfices des sociétés ou par des emprunts (vente d'obligations). Enfin, il existe une dette financière, principalement des banques, des hedge funds et des groupes d'actions rivaux, permettant aux entreprises d'acheter d'autres sociétés.
C'est donc la dette existante qui a financé les guerres passées, les déficits budgétaires ou commerciaux passés et les investissements passés dans la croissance économique. La dette existante est remboursée, année après année, tout comme la dette hypothécaire est remboursée au fil du temps, par les emprunteurs corporatifs, municipaux ou privés. Mais le coût du service de la dette provient des revenus courants. Un débiteur peut décider d'accélérer ses paiements afin de réduire la charge actuelle du service de la dette. Mais le remboursement de la dette en l'absence d'augmentation des revenus signifie qu'il y aura moins d'argent disponible pour de nouveaux investissements. Ce truisme s'applique à tous les niveaux. Si nous (en tant que nation) décidons de rembourser la dette nationale existante plus rapidement, il y aura moins d'argent pour d'autres services gouvernementaux, y compris de nouveaux investissements en capital, tels que les réparations et les mises à niveau des infrastructures. Cela signifie une croissance plus lente.
L'essentiel est qu'une croissance économique plus rapide nécessite plus d'investissements. Cela, à son tour, implique nécessairement plus - pas moins - d'emprunt. Les chefs d'entreprise qui veulent payer moins d'impôts proposent de réduire les recettes publiques, ce qui entraînera l'austérité: des services réduits ou davantage d'emprunts pour combler le déficit budgétaire, ou les deux. Cet écart peut-il être comblé par des coupes dans les dépenses? Si les réductions de dépenses proviennent des services sociaux, tels que les soins de santé et les pensions - ce que la plupart des républicains préconisent - cela signifie que les personnes qui dépendent désormais de ces services auront moins de revenus, même si elles paient également un peu moins d'impôts sur le revenu.
Pour compliquer davantage la situation, la Federal Reserve Bank (FRB) commence maintenant (2017) à revendre sur le marché obligataire les plusieurs billions de dollars de titres (obligations d'État et de sociétés) qu'elle a achetés au cours des trois périodes d'assouplissement quantitatif » (QE). Lorsque cette politique d'assouplissement quantitatif était en vigueur, la FRB souscrivait effectivement les réserves de capital des banques commerciales (en leur donnant de l'argent pour acheter d'autres titres afin de maintenir leurs réserves) et leur permettait ainsi d'accorder davantage de prêts aux entreprises. Mais maintenant que le chômage américain est proche de 4% par an. la FRB a commencé à inverser cette politique d'assouplissement », c'est-à-dire à revendre les obligations qu'elle a achetées il y a quelques années. Pour les racheter, les banques disposeront de moins d'argent à prêter aux petites entreprises. Ce qui était un vent arrière "il y a quelques années est maintenant un vent contraire".
En résumé, rien ne prouve que la réduction des impôts sur les sociétés entraînera une augmentation des investissements dans des projets de briques et de mortier, pour fabriquer des produits utiles ou dans la R&D. Cela ne s'est pas produit après le congé fiscal de 2005, et les incitations financières qui fonctionnaient alors sont toujours en place. L'argent ramené d'outre-mer en 2018 ou 2019 sera principalement consacré au rachat d'actions, à la rémunération des dirigeants et aux dividendes aux actionnaires. Les rachats vont encore faire grimper les cours des actions et accélérer le marché haussier actuel »des actions d'entreprises. Le résultat final sera une autre bulle euphorique », comparable à celles de 1929 et 1999. Lorsque les investisseurs particuliers empruntent de l'argent pour acheter des actions, sur marge, la fin est proche. Après une telle bulle vient le crash inévitable, lorsque la petite maman et les investisseurs pop sont les plus touchés. Et le prochain crash sera très douloureux. On ne peut qu'espérer qu'il sera suffisamment douloureux pour encourager et permettre certains changements fondamentaux dans les formes et les structures actuelles du capitalisme, à commencer par la réforme électorale.

13 février 2023

Les avantages de l'investissement dans l'écotourisme

L'éco-voyage et les loisirs sont vraiment une tendance croissante au sein de l'industrie du voyage, et les organisations de marketing local devraient réfléchir à des méthodes pour tirer parti de cette opportunité du marché. L'achat d'éco-tourisme présente de nombreux avantages pour les destinations, tels que l'amélioration de l'économie, l'efficacité environnementale et l'équité sociale. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des principaux avantages de l'investissement dans l'éco-tourisme pour la destination.

Amélioration financière : L'écotourisme peut créer de nouveaux emplois, améliorer les revenus des voyages et des loisirs et accroître la croissance financière d'une région ou d'une zone. Étant donné qu'un nombre croissant de destinations se concentrent sur leurs atouts naturels - tels que les parcs nationaux, les estuaires et les rivières, les zones boisées et autres lieux protégés - elles deviennent attrayantes pour les écotouristes qui recherchent des excursions et des routines axées sur l'environnement. L'écotourisme peut également entraîner une augmentation des achats de sources extérieures, telles que les ONG ou les entreprises personnelles, ce qui peut stimuler davantage le climat économique régional.

Conservation de l'environnement : L'achat d'écotourisme peut contribuer à protéger des lieux parfaits et à encourager des méthodes durables qui diminuent l'impact du tourisme sur l'atmosphère. Les éco-voyageurs sont généralement plus conscients de leur empreinte écologique et recherchent des activités qui ont un effet négatif minimal, comme le trekking ou l'observation de la faune. En outre, l'écotourisme peut entraîner une augmentation du financement des efforts de conservation et un soutien aux communautés locales qui dépendent des ressources fournies par ces lieux.

Équité sociale : investir dans l'éco-tourisme et les loisirs peut créer des opportunités pour les citoyens locaux afin qu'ils profitent de l'amélioration du tourisme, comme le développement du travail ou un meilleur accès aux services. Il encourage également les visiteurs à communiquer avec les civilisations voisines et à les aider, ce qui peut contribuer à réduire la pauvreté et à renforcer la cohésion sociale. En outre, le soutien aux initiatives en matière de voyages et de loisirs écologiques peut également profiter aux communautés indigènes en promouvant leurs droits légaux à la détermination personnelle et à l'accès aux ressources.

En conclusion, l'achat de voyages et de loisirs écologiques pourrait être un bon moyen pour les entreprises de marketing de destination de profiter de la tendance croissante des voyages responsables. En outre, il offre des avantages financiers, mais il peut également contribuer à protéger les zones protégées et à créer une équité interpersonnelle. En achetant de l'écotourisme, les lieux peuvent créer un climat économique touristique beaucoup plus durable et bénéfique pour toutes les parties concernées.

Avec les bonnes techniques et les bons projets, les destinations peuvent récolter les fruits de l'éco-voyage et des loisirs tout en contribuant à une plus grande responsabilité pour votre atmosphère. Investir dans l'écotourisme ne présente pas seulement des avantages financiers, mais produit également un héritage interpersonnel et environnemental qui peut être transmis aux générations à venir. Investir dans l'éco-voyage et les loisirs est une étape essentielle vers la création d'une destination qui soit durable, équitable et agréable pour tous les voyageurs.

La clé du succès lors de l'achat de voyages et de loisirs écologiques est de s'assurer que les activités sont responsables, respectueuses des civilisations locales et conscientes de l'atmosphère. Ce faisant, les localités peuvent bénéficier d'un meilleur développement financier, d'une efficacité écologique et d'une équité interpersonnelle. L'écotourisme est une tendance croissante dans laquelle les sociétés de marketing local devraient envisager d'investir pour tirer parti de cette opportunité de marché. Avec les bonnes stratégies et les bons projets, les sites peuvent profiter des avantages de l'éco-voyage et des loisirs tout en contribuant à une plus grande responsabilité pour l'atmosphère. Investir dans l'éco-voyage et les loisirs est une étape essentielle vers la construction d'une destination qui soit durable, équitable et agréable pour de nombreux touristes.

Indépendamment des nombreux avantages de l'achat de voyages et de loisirs écologiques, voyage à Bali il est important de comprendre les difficultés potentielles liées à ce modèle de voyage et de loisirs. Ces difficultés peuvent inclure des impacts écologiques négatifs, la perturbation des civilisations locales et l'absence d'infrastructures permettant aux voyageurs d'accéder à des zones spécifiques. En outre, il existe toujours un risque potentiel de surcommercialisation de l'écotourisme lorsqu'il devient trop populaire ou n'est pas géré correctement. Par conséquent, les organisations de marketing et de publicité de destination doivent réaliser une étude approfondie avant d'investir dans l'éco-voyage et les loisirs et s'assurer que cela se fait de manière responsable. Investir dans les voyages et loisirs écologiques peut apporter de nombreux avantages aux entreprises de marketing de destination, mais elles doivent être conscientes des défis potentiels liés à ce modèle touristique.

3 janvier 2023

Vaincre le changement climatique

Si l'énergie propre était moins chère que l'énergie sale, le changement climatique s'arrêterait. Rendre l'énergie propre moins chère est un problème - comme mettre un homme sur la lune - qui peut être résolu si l'effort est correctement organisé et financé. Cette rubrique propose un « programme mondial Apollo » de dix ans pour parvenir à l'inversion des prix nécessaire.
Une seule chose suffirait à enrayer le changement climatique. Si l'énergie propre devenait moins chère à produire que l'énergie à partir de combustibles fossiles, l'utilisation des combustibles fossiles cesserait. Ainsi, la clé du problème du changement climatique est la recherche, le développement et la démonstration (RD&D) pour réduire le coût de l'énergie propre.1
Cela doit être une priorité absolue pour les scientifiques et les technologues du monde. Le temps est très court. Une fois que la température mondiale dépasse de 2˚C le niveau préindustriel, des dangers majeurs menacent. Par exemple, une éventuelle élévation du niveau de la mer de 6 mètres devient très probable. Les principes de base de l'assurance nous disent d'éviter ces périls. Ainsi, les dirigeants mondiaux se sont mis d'accord en 2010 pour limiter la hausse probable de la température à 2˚C.
Une exigence clé est que l'énergie propre devienne moins chère à produire et suffisamment bon marché pour supplanter l'énergie sale (même sans l'aide de subventions et de taxes). Réduire les coûts de cette manière nécessite un effort majeur et concerté de RD&D - comme nous le soutenons dans notre article récemment publié, Un programme mondial Apollo pour lutter contre le changement climatique (King et al. 2015).
L'effort de recherche actuel
Alors comment allons-nous? Pas assez bien. Les coûts diminuent mais pas assez vite pour résoudre le problème à temps.
Croyez-le ou non, seulement 2 % de la RD&D mondiale financée par l'État continue de résoudre le problème de l'énergie propre bon marché. Cela comprend toutes les recherches non seulement sur la production d'énergie éolienne et solaire, mais aussi sur le stockage et la transmission de l'électricité et sur les véhicules électriques. Pour ces énormes problèmes, le monde ne dépense que 6 milliards de dollars par an. Comme l'ont souligné le GIEC et l'AIE, il s'agit d'un manque à gagner choquant (GIEC 2014, AIE 2015).
Dans le passé, lorsqu'elles étaient menacées, les nations du monde ont monté d'importantes initiatives de recherche du secteur public comme le projet Manhattan ou le programme Apollo. Et la communauté scientifique a fourni ce qui était nécessaire. Mais pour résoudre notre problème actuel, nous comptons principalement sur le secteur privé.
Nous subventionnons l'approvisionnement en énergie propre à hauteur de 100 milliards de dollars par an (IEA 2013b). Bien que cela soit juste, cela n'a pas réussi à stimuler des réductions de coûts suffisantes pour résoudre le problème dans les délais impartis. Il n'y a tout simplement pas assez de recherche. Même dans les grandes entreprises internationales qui fabriquent des éoliennes et des éoliennes solaires, le ratio R&D/ventes est inférieur à 2 %, contre plus de 5 % dans l'électronique grand public et 15 % dans la pharmacie (Laleman et Albrecht 2012, Grubb et al. 2014). .
Il nous faut donc une approche totalement différente et complémentaire où le secteur public complète le secteur privé avec un programme majeur couvrant les phases précompétitives de la recherche.
Technologie
Il existe quatre principaux défis technologiques majeurs. Premièrement, les coûts de production d'énergie solaire et éolienne doivent baisser. Ces dernières années ont vu des chutes frappantes du coût des panneaux solaires photovoltaïques (comme le montre la figure 2).2 Ce n'est pas surprenant puisqu'ils sont constitués de semi-conducteurs. Mais de nouvelles chutes sont cruciales, ainsi qu'une réduction du coût de l'"équilibre des systèmes" restant.
Dans de nombreuses régions ensoleillées, l'énergie solaire et, dans de nombreuses régions venteuses, le vent, sont désormais compétitifs lorsqu'ils sont utilisés. Mais pour que le soleil et le vent puissent fournir de l'électricité de base 24 heures sur 24, nous avons besoin de méthodes bon marché de stockage de l'électricité et de meilleures façons d'alimenter le réseau en électricité intermittente (en utilisant des réseaux intelligents et de meilleures interconnexions). Et, pour réduire davantage les émissions de CO2, nous devons pouvoir électrifier tous les transports terrestres, ce qui signifie un stockage mobile de l'électricité moins cher.
Ce sont des défis scientifiques. Des scientifiques et des hommes d'affaires comme nos co-auteurs David King, Martin Rees et John Browne, pensent que nous en savons déjà assez pour voir comment, avec un effort de recherche concerté, ces défis pourraient être relevés dans un délai de dix ans. Ce sont des problèmes - comme mettre un homme sur la lune - qui peuvent être résolus si l'effort est correctement organisé et financé. D'où la proposition d'un programme mondial Apollo de dix ans impliquant autant de nations du monde que possible.
Cible
L'objectif est que d'ici dix ans, les nouvelles énergies renouvelables de base soient des sources d'électricité moins coûteuses que les nouvelles centrales électriques au charbon dans le monde.
Échelle
Aux prix actuels, le moonshot a coûté 15 milliards de dollars par an pendant dix ans. Cela équivaut à 0,02% du PIB mondial actuel et fournit une échelle minimale appropriée pour le programme Global Apollo (GAP). Ainsi, tout gouvernement rejoignant le consortium du programme s'engagera à dépenser une moyenne annuelle de 0,02 % du PIB en dépenses publiques pour le programme de 2016 à 2025. L'argent sera dépensé à la discrétion du pays. Nous espérons que tous les grands pays se joindront à nous. Il s'agit d'une version améliorée, élargie et coordonnée au niveau international de nombreux programmes nationaux.
Comité feuille de route
Le programme générera d'année en année une feuille de route claire des percées scientifiques nécessaires à chaque étape pour maintenir le rythme de réduction des coûts, conformément à la loi de Moore. Un tel arrangement a extrêmement bien fonctionné dans le domaine des semi-conducteurs, où depuis les années 1990, la feuille de route technologique internationale pour les semi-conducteurs (ITRS) a identifié les goulots d'étranglement scientifiques à une réduction supplémentaire des coûts et a précisé les progrès nécessaires aux étapes préconcurrentielles de R&D. Cette feuille de route a été construite par un consortium d'acteurs majeurs de l'industrie dans de nombreux pays, guidé par un comité de 2 à 4 représentants de chaque région principale. La RD&D nécessaire a ensuite été financée par les gouvernements et le secteur privé.
Le programme mondial Apollo suivra ce modèle. Il y aura une commission composée d'un représentant de chaque pays membre et, sous son autorité, un comité de la feuille de route d'une vingtaine de technologues et d'hommes d'affaires de haut niveau qui construiront et réviseront la feuille de route d'année en année. Il sera colocalisé avec l'Agence Internationale de l'Energie à Paris, mais inclura bien sûr de très nombreux pays n'appartenant pas à l'AIE. Tous les résultats découverts grâce au programme seront rendus publics, bien que la propriété intellectuelle brevetable soit protégée et appartiendra à ceux qui ont fait les découvertes.
Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, bien d'autres choses sont également nécessaires - plus d'efficacité énergétique, plus d'énergie nucléaire et des taxes sur le carbone jusqu'à ce que les combustibles fossiles disparaissent enfin de leur utilisation. Mais nous sommes convaincus qu'en termes d'optimisation des ressources, un programme mondial Apollo est un élément essentiel de toute tentative sérieuse de gestion des risques liés au changement climatique. Sans elle, les objectifs de réduction des émissions seront extrêmement difficiles à atteindre. Mais le programme mondial Apollo, à un coût relativement faible, contribuera puissamment à un monde plus sûr et meilleur. Cela renforcera la sécurité énergétique et réduira les effets polluants des combustibles fossiles, qui tuent aujourd'hui des millions de personnes. Il peut même générer des économies d'énergie suffisantes pour couvrir entièrement ses propres coûts. Nous espérons que d'ici la fin de l'année, tous les grands pays auront décidé de nous rejoindre.

19 septembre 2022

Omnipotence: le problème de la Chine

Depuis que Mao a fondé la République populaire en 1949, aucun dirigeant, à l'exception du Grand Timonier lui-même, n'a été consacré par la Constitution de son vivant. ("La théorie de Deng Xiaoping" n'a été ajoutée qu'en guise de respect posthume à l'architecte de la renaissance économique de la Chine). Xi rejoint Mao sur le mont Olympe à un moment où la Chine possède la deuxième plus grande économie du monde et étend son influence mondiale. Si l'ère de Mao a donné naissance à la République populaire et celle de Deng à la nation riche, la "nouvelle ère" de Xi vise à en faire la superpuissance prédominante du monde.

Depuis que Mao a fondé la République populaire en 1949, aucun dirigeant n'a été consacré par la Constitution de son vivant, à l'exception du Grand Timonier lui-même. ("La théorie de Deng Xiaoping" n'a été ajoutée qu'à titre d'honneur posthume à l'architecte de la renaissance économique de la Chine). Xi rejoint Mao sur le mont Olympe à un moment où la Chine possède la deuxième plus grande économie du monde et étend également son impact mondial. Si l'ère de Mao a donné naissance à la République populaire et celle de Deng à la nation riche, la "nouvelle ère" de Xi vise à en faire la superpuissance prédominante du monde.

"C'est le couronnement de l'empereur Xi", déclare le professeur Nick Bisley, spécialiste de l'Asie à l'université australienne de Los angeles Trobe. "Il est sans conteste le leader suprême et celui qui a une vision remarquablement engagée pour la Chine".

Cette vision va au-delà des frontières du pays. Alors que les dirigeants chinois précédents qualifiaient en souriant la nation la plus peuplée du monde de "en développement" ou de "pauvre", M. Xi a qualifié sans complexe l'Extrême-Orient de "grande puissance" ou de "puissance forte" à 26 reprises dans son discours d'ouverture. "Notre parti fait preuve d'un leadership fort, ferme et dynamique. Notre programme socialiste fait preuve d'une force et d'une vitalité excellentes", a déclaré l'homme de 64 ans. "Les individus chinois et la nation orientale embrassent de brillantes perspectives".

Ils ont accéléré la construction et la militarisation d'îles en mer de Chine méridionale et ouvert la première fondation militaire chinoise à l'étranger à Djibouti. L'initiative "la Ceinture et la Route", sa marque de fabrique, qui consiste à repenser l'ancienne Route de la Soie par le biais d'un système de commerce et d'infrastructures à travers l'Eurasie et l'Afrique, a été ajoutée à la Constitution le 24 octobre, ce qui témoigne de l'importance de sa réflexion. Sa "nouvelle ère", a déclaré Xi, sera une ère "qui verra la Chine se rapprocher de l'étape intermédiaire".

À l'intérieur du pays, Xi veut renforcer le contrôle du parti sur la société. Il a déjà réactivé 77 000 petites branches du parti tout en enfermant les critiques et en renforçant la censure. Mais Xi veut également relâcher le contrôle de l'État sur l'économie afin que la Chine puisse éviter le redoutable "piège du revenu intermédiaire", où un climat économique en hausse plafonne pour toujours. Pour ce faire, il doit couper les ailes des gigantesques entreprises publiques chinoises, qui ont contribué à la croissance tirée par les exportations pendant près de quarante ans, mais qui risquent de devenir un boulet. Les réformes économiques de Xi ont fait long feu jusqu'à présent, estime Bisley, "mais en se faisant le centre incontesté du pouvoir, il dispose d'une meilleure plateforme pour faire aboutir ces autres réformes."

La purge des hautes autorités et des généraux au cours de la première phrase de Xi, alors qu'il poursuivait une campagne anti-corruption, a montré qu'il n'avait pas été un leader à contrarier. Maintenant que son dogme personnel est inscrit dans la charte fondamentale de la nation, lui poser des difficultés pourrait même être considéré comme séditieux. Le 25 octobre, Xi a donné le signe le plus fort à ce jour de son intention de rester au pouvoir après la fin de son deuxième et dernier mandat en 2022, en refusant de nommer de jeunes cadres au Comité permanent du Politburo, composé de sept membres. Selon la convention, deux bénéficiaires apparents âgés de moins de 58 ans doivent être saignés pendant 5 ans avant d'assumer les postes supérieurs de président et de chef. Le couple d'opportunités restantes a peut-être fui les feux de la rampe, plaçant la préservation personnelle au-dessus de toute ambition politique persistante. "Xi Jinping n'a pas l'intention de renoncer au pouvoir", déclare le professeur Steve Tsang, directeur du SOAS China Institute au College of Central london. "Alors pourquoi placer sa tête autour du couperet ? C'est à peu près l'endroit le plus dangereux de la politique orientale." À cette preuve, l'ère Xi pourrait bien ne faire que commencer.

"C'est le couronnement de l'empereur Xi", déclare le professeur Nick Bisley, spécialiste des pays asiatiques à l'université australienne de La Trobe. "Il est sans conteste le plus grand innovateur et celui qui a une vision remarquablement engagée pour la Chine".

Cette vision va au-delà des frontières du pays. Alors que les dirigeants chinois précédents minimisaient en souriant le caractère "en développement" ou "pauvre" de la nation la plus peuplée du monde, BizChine M. Xi a qualifié sans complexe la Chine de "grande puissance" ou de "puissance forte" à 26 reprises dans son discours d'ouverture. "Notre parti fait preuve d'un leadership fort, ferme et dynamique. Notre programme socialiste fait preuve d'une grande force et vitalité", a déclaré l'homme de 64 ans. "Les individus chinois et la nation orientale acceptent de brillantes perspectives".

Il a accéléré la construction et la militarisation d'îles en mer de Chine méridionale et a ouvert la première base militaire chinoise à l'étranger, à Djibouti. L'initiative "la Ceinture et la Route", sa marque de fabrique, qui consiste à repenser l'ancienne Route de la Soie au moyen d'un réseau de commerce et d'infrastructures à travers l'Eurasie et l'Afrique, a été ajoutée à la Constitution le 24 octobre, ce qui indique qu'elle est essentielle à sa pensée. Sa "nouvelle ère", a déclaré Xi, sera une ère "qui verra la Chine se rapprocher de la phase intermédiaire".

À l'intérieur du pays, Xi veut renforcer le contrôle du parti sur la société. Il a déjà réactivé 77 000 petites branches du parti tout en enfermant les critiques et en renforçant la censure. Mais Xi aimerait également relâcher le contrôle conditionnel sur l'économie afin que la Chine puisse éviter le redoutable "piège du revenu intermédiaire", dans lequel une économie en croissance plafonne pour toujours. Pour ce faire, il doit couper les ailes des gigantesques entreprises d'État chinoises, qui ont contribué à propulser sa croissance axée sur les exportations pendant près de quarante ans, mais qui risquent de devenir un boulet. Les réformes économiques de Xi ont fait long feu jusqu'à présent, estime Bisley, "mais en faisant d'elles le centre incontesté du pouvoir, il dispose d'une meilleure plate-forme pour faire adhérer ces autres réformes."

La purge des autorités supérieures et des généraux durant la première phrase de Xi, alors qu'il poursuivait une campagne anti-corruption, a démontré qu'il n'était pas un dirigeant à contrarier. Son dogme personnel étant inscrit dans la charte fondamentale de la nation, lui poser des difficultés peut même être considéré comme séditieux. Le 25 octobre, Xi a donné le signe le plus fort à ce jour de son intention de rester au pouvoir après la fin de son deuxième et dernier mandat en 2022, en refusant de nommer de jeunes cadres au Comité permanent du Politburo, composé de sept membres. Selon la conférence, deux bénéficiaires apparents âgés de moins de 58 ans doivent être saignés pendant 5 ans avant de présumer les articles supérieurs de leader et de dirigeant. Le couple de candidats restants a peut-être évité les feux de la rampe, plaçant sa préservation personnelle au-dessus de toute ambition politique persistante. "Xi Jinping n'a pas l'intention de renoncer à son énergie", déclare le professeur Steve Tsang, directeur de la SOAS China Institution à l'université de Londres. "Alors pourquoi mettre sa tête sur l'échafaudage ? C'est à peu près l'endroit le plus dangereux de la politique orientale." Sur cette preuve, l'ère Xi pourrait bien ne faire que commencer.

22 juillet 2022

L'utilisation appropriée des modèles de risque

Les modèles de risque sont au cœur de l'autocontrôle du secteur financier ainsi que de la supervision par les régulateurs. Cette chronique, la première de deux, aborde la question de savoir comment les modèles de risque sont mal utilisés dans la pratique par les praticiens et les superviseurs. Cette mauvaise utilisation fait échouer la gestion des risques au moment où elle est le plus nécessaire.
Les modèles de risques financiers ont été largement critiqués pour leurs échecs tant théoriques que pratiques, notamment lors de la récente crise financière. Malgré cela, toutes les propositions visant à réformer l'utilisation des modèles ont rencontré une certaine résistance. Ce n'est pas surprenant, étant donné que les modèles sont profondément ancrés dans la pratique de la finance.
Ces sentiments sont exprimés avec éloquence dans la conclusion d'un commentaire sur un récent article de Vox ;
En tant que gestionnaire de risques, je reconnais pleinement les lacunes de tout modèle basé ou calibré sur le passé. Mais j'ai également besoin de quelque chose de pratique, d'objectif et de compréhensible pour mesurer le risque, fixer et faire respecter les limites, et encourager les discussions sur les positions quand cela compte. Il est très facile de critiquer depuis le bord du chemin - veuillez proposer une alternative la prochaine fois."
Notre objectif ici est de répondre aux défis tels que ceux mentionnés dans le commentaire de Jan-Peter en faisant des propositions spécifiques sur la façon dont les modèles de risque devraient être utilisés dans la pratique, et en identifiant comment les problèmes avec les modèles peuvent être évités. Pour un aperçu des aspects théoriques des modèles de risque, voir Danielsson (2009, 2011). Une analyse pratique des modèles peut être trouvée dans Macrae et Watkins (1998).
Nature du risque et des modèles de risque
Le risque financier est une prévision et non une mesure. Chaque prévision de risque est une évaluation incertaine des facteurs de risque sous-jacents, souvent avec de larges intervalles de confiance, résultant de l'incertitude des paramètres, de l'erreur de modèle et de la fouille des données, et contenant généralement un élément subjectif inconfortablement important. Même les estimations non paramétriques nécessiteront des choix tels que la période d'estimation.
Le risque financier ne peut être compris qu'en termes de modèle. Il peut s'agir d'un modèle formel, mais chaque fois qu'un utilisateur adopte une règle quelconque pour contrôler le risque, il doit y avoir un modèle impliqué par les règles adoptées. Par exemple, les restrictions du ratio de prêt impliquent un modèle simple selon lequel un plus grand nombre de prêts bancaires entraîne un plus grand risque. Un modèle plus complexe incorporant différents niveaux de risque de prêt et de risque opérationnel est implicite dans les pondérations de risque de Bâle II.
Malgré la dépendance au modèle et l'incertitude, les utilisateurs finaux ont tendance à percevoir les chiffres représentant le risque comme provenant d'une mesure scientifique - un Riskometer dans le langage de Danielsson ( 2009 )- plutôt que d'une procédure statistique incertaine. Les utilisateurs ont besoin de chiffres qu'ils peuvent utiliser pour convaincre leur patron, leur client ou leur régulateur. Les utilisateurs de modèles de risque préfèrent donc des prévisions de risque "objectives", alors que les prévisions accompagnées de réserves et d'incertitudes semblent moins objectives.
Nous soupçonnons que cela conduit les utilisateurs à préférer les logiciels de risque commerciaux qui fournissent un seul chiffre, non encombré d'intervalles de confiance, même si cela rend particulièrement difficile pour les utilisateurs d'évaluer la fiabilité des modèles sur étagère. Lorsque les intervalles de confiance sont estimés, leur fiabilité est souvent suspecte. Ceci est illustré succinctement par la déclaration de David Viniar, directeur financier de Goldman : "Nous voyions des choses qui étaient des mouvements de 25 écarts-types, plusieurs jours de suite" (Financial Times 2007). Cela ne peut que signifier que Goldman a grossièrement sous-estimé ses écarts types, rendant les intervalles de confiance beaucoup trop serrés.
Pourquoi les incertitudes dans les prévisions de risque sont-elles si élevées ?
Il existe plusieurs raisons pour lesquelles les incertitudes dans les prévisions de risques sont plus élevées que ce que l'on suppose habituellement :
La période d'estimation du modèle est trop courte ;
Il y a des ruptures structurelles pendant la période d'estimation ;
L'espionnage des données et l'optimisation des modèles se produisent ;
Les portefeuilles sont optimisés, ce qui maximise les erreurs ;
Il est souvent nécessaire de prévoir des risques extrêmes.
Les deux premiers problèmes étant bien connus, nous voulons nous concentrer sur les trois derniers.
Fouinage des données et optimisation des modèles
Chaque étudiant en économétrie apprend le danger du fouinage des données. Si nous effectuons une seule régression, nous obtenons des intervalles de confiance corrects pour les estimations des paramètres et les prévisions, sous réserve de certaines hypothèses de base. Si, toutefois, nous arrivons au même modèle à la suite de l'optimisation d'un certain nombre de variables explicatives et de spécifications de modèle, ces hypothèses sont violées et les intervalles de confiance seront sous-estimés. Plus le modèle est complexe et plus l'ensemble de données est petit, plus la sous-estimation est importante.
L'inférence trompeuse que peut provoquer le fouinage des données est démontrée par Sullivan et al. (1999), qui montrent que des règles de trading technique apparemment statistiquement significatives ne le sont pas si les intervalles de confiance sont calculés correctement, en tenant compte de la recherche du meilleur modèle.
Des effets similaires sont à l'œuvre dans la prévision des risques. Les modèles de risque sont régulièrement validés par des tests à rebours, c'est-à-dire en examinant la manière dont un modèle prévoit les résultats du marché qui se sont déjà produits. Si le modèle donne de mauvais résultats, il est modifié, et le résultat final est certain de donner de bons résultats en échantillon, sur la période de back-testing.
Ces approches courantes de la modélisation du risque nous renseignent davantage sur le niveau d'optimisation du modèle que sur la façon dont le modèle se comportera hors échantillon à l'avenir. La plupart des modèles de risque en pratique nous semblent accorder trop d'importance à leur capacité à s'adapter aux événements passés, plutôt qu'à la prévision du risque hors échantillon. Les modèles de risque doivent être parcimonieux et testés sur une variété de turbulences du marché s'ils veulent minimiser le problème de l'espionnage des données et de l'optimisation des modèles. Le modèle le plus performant en matière de prévision a peu de chances d'être le meilleur pour saisir les événements historiques avec une grande précision.
Cela impose une limite fondamentale à ce que les systèmes de gestion des risques peuvent réaliser, en particulier en cas de crise, car les modèles parcimonieux ne peuvent fournir une grande précision, mais les modèles non parcimonieux sont susceptibles d'échouer hors échantillon.
Optimisation du portefeuille et maximisation de l'erreur
Un problème connexe découle de l'utilisation de modèles de risque dans l'optimisation de portefeuille et le contrôle du risque. Lorsque les modèles de risque sont une entrée directe dans les décisions de trading, fournissant des contraintes dures sur les positions risquées, le processus de trading sous-jacent et les portefeuilles s'adapteront selon toute probabilité aux faiblesses du modèle et les exploiteront.
Ce problème se pose dans la mesure où les traders optimisent les portefeuilles en vue d'obtenir un faible risque déclaré (ou, de manière équivalente, une faible utilisation du capital) et des rendements élevés, ce qui fait que les décisions de trading sont biaisées en faveur des actifs présentant un risque sous-estimé. En d'autres termes, le trader maximise l'exposition à la partie de l'univers des actifs dont les prévisions de risque sont biaisées, maximisant ainsi l'impact que cette erreur a sur le portefeuille. Cette maximisation de l'erreur peut affecter les positions de trading individuelles, les institutions et même le système financier dans son ensemble, comme l'illustre la récente crise.
Avant la crise, de nombreux produits de crédit structurés, tels que certaines tranches de CDO, avaient des notations de crédit AAA non méritées. Comme de nombreux investisseurs percevaient à juste titre le risque de ces tranches AAA comme plus élevé que celui des obligations d'entreprise AAA, leurs rendements étaient généralement un peu plus élevés que ceux des obligations d'entreprise AAA. Cela a rendu ces tranches attrayantes pour les investisseurs moins avertis qui évaluaient le risque uniquement sur la base des notations de crédit.
Ce n'est pas la taille du biais de tarification ni l'ampleur de l'événement qui est le principal coupable ici ; le marché des CDO représente une part relativement faible du total des actifs financiers. Le problème est que la présence de contraintes très strictes basées sur des modèles de risque inexacts (et la maximisation des erreurs qui en découle) a motivé certaines institutions financières à acquérir de grandes expositions à ces actifs. Cela a conduit à des pertes concentrées ayant des conséquences systémiques dommageables.
La maximisation de l'erreur, en tant que gestion active du risque, conduit à une volatilité réduite et à des queues plus larges. Le risque lié aux événements courants est mieux géré, au détriment d'événements extrêmes plus importants et plus fréquents. Plus les modèles de risque sont rigoureux pour contraindre les positions, plus les erreurs seront maximisées et plus les conséquences seront dramatiques lorsque les erreurs seront finalement révélées.
Tous les modèles de risque contiennent des erreurs et sont donc vulnérables à la maximisation des erreurs. Plus un modèle est utilisé largement et plus une contrainte est serrée, plus la maximisation des erreurs est grave. Cela plaide en faveur de l'hétérogénéité des modèles de risque. Dans le pire des cas, lorsqu'un modèle ou une approche unique se voit conférer une force réglementaire et est appliqué comme une contrainte dure à de nombreux portefeuilles, un petit problème dans les réglementations micro-prudentielles peut être élevé à un niveau systémique.
Les gestionnaires de risques sont bien conscients du potentiel de maximisation des erreurs. Cependant, nous soupçonnons que ce phénomène n'est pas bien compris par les cadres supérieurs ni correctement pris en compte par les concepteurs des réglementations financières.
Cela impose une deuxième limite fondamentale à ce qu'un système de risque peut être censé réaliser, car les systèmes de risque utilisés pour contraindre les portefeuilles auront été compromis par l'optimisation implicite des portefeuilles pour contenir des actifs pour lesquels les systèmes de risque sous-estiment le risque. Les systèmes de risque qui ont été utilisés pour contraindre les positions se révéleront toujours peu fiables en cas de crise.
Prévisions des risques extrêmes
Le plus grand besoin de modèles se situe peut-être dans la prévision du risque extrême ou du risque de queue, en particulier pendant les périodes de crise financière et d'agitation extrême du marché. Il s'agit toutefois du domaine où les modèles de risque sont les moins fiables, car la taille effective de l'échantillon d'événements comparables est très faible. Au pire, il peut y avoir une observation ou même zéro lorsque nous souhaitons considérer des événements non encore vus.
Au cours du dernier demi-siècle, nous avons observé moins de 10 épisodes de turbulences extrêmes sur les marchés internationaux. Chacun de ces événements est essentiellement unique, et apparemment mû par des causes sous-jacentes différentes. Essayer de se faire une idée globale du processus statistique des données pendant ces épisodes de moins de 10 épisodes de turbulences, tous avec des causes sous-jacentes différentes est difficile, voire impossible. S'il est possible de construire un modèle adapté à 9 événements de crise d'affilée, rien ne garantit qu'il sera performant lors du 10e.
Il ne semble pas non plus probable que nous puissions obtenir beaucoup d'informations sur la dynamique des prix pendant la tourmente en utilisant les données hors crise qui constituent la majeure partie des informations disponibles, car il existe de nombreuses preuves que la dynamique du marché est très différente en temps de crise. La tradition du marché suggère qu'en temps de crise, les traders s'appuient davantage sur des règles empiriques simples (telles que toutes les actions ont un bêta de un", ou encore que le cash est roi") qu'en temps normal, plus nuancé. Cela est confirmé par des études universitaires, telles que Ang et al. (2002), qui montrent que les corrélations atteignent un pendant les crises (manifestation d'une dépendance non linéaire), en raison des incitations à échanger des actifs risqués contre des actifs sûrs lorsque les contraintes de risque s'appliquent, provoquant une rétroaction entre un risque toujours plus élevé et des contraintes plus fortes (voir Danielsson et al. 2010).
Il s'agit de la troisième limite fondamentale à ce que l'on peut attendre d'un système de risque. Quelle que soit la quantité de données dont nous disposons, il n'y en a jamais assez pour estimer les queues de manière fiable. C'est pourquoi on peut s'attendre à ce que les modèles de risque extrême échouent pendant les turbulences ou les crises du marché.
Dans notre prochaine colonne, nous examinons comment les défauts intrinsèques des modèles de risque importent pour leurs quatre principales utilisations. Nous faisons également quelques suggestions sur la manière dont l'industrie financière et les superviseurs devraient utiliser les modèles dans la pratique.

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